ACCUEIL     MODE D'EMPLOI DU SITE     POURQUOI S'INSCRIRE ?     A PROPOS     PLAN DU SITE     CONTACT  
 
Berylinfo
Connexion
Mini calendrier
Juin 2025
L M M J V S D
            1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30            
Fête du jour
Le Dimanche 08 Juin 2025
Bonne fête
Médard
Rubriques du site
Divertissement
Superflux (rss)
Météo sur Beryl
Pas de prévisions actuellement disponibles pour Paris
Newsletter
Abonnez-vous à notre newsletter pour recevoir les dernières informations dans votre boîte mail.
Votre email:

Archives
Recherche
S'abonner au flux RSS

S'abonner au flux RSS de Berylinfo



Flux Rss d'information::Articles


Bénédicte Charles | 2008-07-05T09:14:00+02:00 | 54 lectures

Réels ou supposés, pure fiction ou incroyable vérité, rumeurs, théories paranos… Sur Marianne2.fr, c'est l'été de tous les complots. Aujourd'hui, les thèses délirantes du prétendu complot de Léotard et Gaudin pour se débarrasser de la malheureuse Yann Piat !


Affaire Yann Piat : le «complot» Encornet et Trotinette


Le 25 février 1994, Yannick Marie, dite « Yann » Piat, 44 ans, députée UDF du Var, quitte sa permanence de Hyères pour regagner son domicile, la villa le Mas Bleu, située sur le Mont-des-Oiseaux, qui domine la mer. Elle n'arrivera jamais chez elle. Sur la route, elle est prise en chasse par une Yamaha rouge chevauchée par deux hommes masqués par leurs casques intégraux. Ils tirent plusieurs coups de feu sur sa voiture. Yann Piat succombe à ses blessures quelques instants plus tard sous les yeux de son chauffeur.


Le meurtre a tout du « contrat » mafieux. Reste à savoir qui en est le commanditaire. Et là, la liste est longue. Car Yann Piat, qui avait commencé sa carrière politique au Front National - elle est même la filleule de Jean-Marie-Le Pen - avant de rejoindre les rangs de l'UDF semble n'avoir eu que deux ambitions : devenir ministre, d'une part, et se faire des ennemis sur sa terre d'élection, d'autre part. A coups de communiqués de presse quasi-quotidiens pour dénoncer la corruption, elle s'est mise à dos la totalité du milieu varois.







Affaire Yann Piat : le «complot» Encornet et Trotinette


Piat en tombeuse de Fargette !


De fait, ses deux assassins, arrêtés le 4 juin 1994, sont des petits nervis qui travaillent pour un truand local, Gérard Finale, patron du Macama, un bar de Hyères. Bien décidé à devenir un grand baron de la côte, Finale voyait en Yann Piat une empêcheuse de tourner en rond. Il la soupçonnait même d'avoir commandité l'assassinat de Jean-Louis Fargette, le célèbre parrain de la mafia toulonnaise, abattu en 1993 en Italie.


Pourtant, cela ne convainc pas. Et peu à peu, les rumeurs se cristallisent autour d'une autre hypothèse : celle de l'assassinat politique. On évoque une lettre, écrite deux ans plus tôt par yann Piat, et dans laquelle elle affirmait qu'en cas de « mort suspecte ou de « suicide » », il fallait chercher du côté de cinq personnes : Maurice Arreckx (président du conseil général du Var), Bernard Tapie, Jean-Louis Fargette (abattu entre-temps, donc) et deux autres truands. On n'hésite pas, non plus, à lier l'assassinat de Yann Piat à la mort, deux mois plus tard, des frères Saincené, Fernand et Christian, retrouvés asphyxiés dans le garage de leur maison de Tourtour (Var). La justice conclut au suicide ? La rumeur affirme que c'est un double meurtre. Fernand, qui avait travaillé pour le conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur, n'affirmait-il pas avoir des dossiers sur Jean-Claude Gaudin ? Et, partant, peut-être savait-il qui avait vraiment commandité le meurtre de Yann Piat ?







Affaire Yann Piat : le «complot» Encornet et Trotinette


Le « général »? Un ingénieur à la retraite !


Il faudra cependant attendre octobre 1997 - soit huit mois avant l'ouverture du procès des assassins de la députée du Var - pour que la thèse du vrai gros complot prenne véritablement corps. A cette date en effet, deux journalistes, Jean-Michel Verne et André Rougeot, publient un livre intitulé « L'Affaire Yann Piat, des assassins au cœur du pouvoir ». Une vraie bombe : selon les deux auteurs, qui s'appuient sur le témoignage d'un mystérieux « général », les nervis et le petit truand que la police a arrêtés sont des hommes de paille, la députée s'est en réalité fait descendre par une seconde équipe (qui, elle court toujours). Pire : cette seconde équipe travaillait, non pas pour Finale ou quelque truand que ce soit, mais pour deux hommes politiques, également commanditaires du « suicide » des frères Saincené ! Désignés sous les sobriquets de L'Encornet et de Trotinette, ils sont cependant rapidement identifiés comme étant Jean-Claude Gaudin et François Léotard. D'après Verne et Rougeot (le fait que ce dernier soit journaliste au Canard enchaîné donne du poids à son propos), Yann Piat aurait découvert en 1994, peu avant sa mort, une importante spéculation immobilière de la mafia sur des terrains militaires de la côte d'Azur. Elle en aurait parlé à Gaudin (alors président du conseil régional de PACA) et Léotard (alors ministre de la défense). Or, ceux-cis auraient été, dans cette affaire, associés à l'opération de la mafia. Pour que rien ne capote et que rien ne sorte, ils auraient donc éliminé leur collègue de l'UDF (puis les Saincené qui avaient tout découvert) ! Incroyable… mais pas vrai. Pourquivis en correctionnelle par Jean-Claude Gaudin et François Léotard, les deux auteurs arrivent au procès sans preuve. C'est que le fameux «général», leur unique informateur, s'est révélé être un ingénieur à la retraite qui n'a jamais travaillé pour quelque service de renseignement que ce soit... Bref, « L'Affaire Yann Piat » est une imposture. Le 28 octobre 1997, le livre sera retiré de la vente par Flammarion, son éditeur. Et le 16 juin 1998, Gérard Finale et Lucien Ferri, l'auteur des coups de feu, sont condamnés à la réclusion à perpétuité et Marco Di Caro, le conducteur de la moto, à vingt ans de prison.











Retrouvez le premier épisode de l'été de tous les complots : Opération Jack Bauer.




2010-09-15T12:46:17+02:00 | 37 lectures

Il mesure 70 cm, est équipé d'une armure de plaques osseuses et ses dents en forme de cuillère lui permettent de grignoter les troncs d'arbre dont il est friand.


2011-05-28T12:17:00+02:00 | 34 lectures

Le site français hébergé au Canada donnait accès à des dizaines de milliers de liens vers des contenus piratés. Ses trois administrateurs ont été mis en examen.


Frédéric Ploquin (avec Sylvain Lapoix) | 2008-10-02T11:01:00+02:00 | 30 lectures

Le procès de la spectaculaire évasion de la prison de Fresnes, en mars 2003, s’ouvre aujourd’hui devant les assises de Paris. Les aventures mouvementées d'Antonio Ferrara ont été mises en bandes dessinées dont Marianne2 publie quelques images.


Banditisme: révélations sur les écoutes qui ont piégé Ferrara


Ils s'appellent Virenque, Fernandel, Arsène Lupin ou Alice Sapritch. Ils ont une trentaine d'années, sont nés dans la banlieue parisienne, plutôt au Sud, de parents algériens, maliens ou italiens et préparent activement l'évasion de leur pote Antonio Ferrara, dit Nino ou La Pioche, incarcéré à la prison de Fresnes pour braquage. Malheureusement pour eux, la PJ a identifié et mis sur écoute plusieurs des téléphones portables qu'ils utilisent. Voilà un extrait de ce que les jurés de la cour d'assises, réunis pour juger les auteurs présumés d'une évasion mémorable –la prison a été attaquée au pain de plastic et au lance-roquettes- auront à décrypter :




Banditisme: révélations sur les écoutes qui ont piégé Ferrara


« Il est avec toi Fernandel ?


-Non


-Tu vas le voir aujourd'hui ? Tu sais ce que tu dois lui dire, j'ai été chez le baveux, là. Dis lui qu'il faut dix boulons. Il faut qu'il sorte dix boulons parce que moi il faut que je lui ramène demain.


-C'est pour notre mec ?


-Il faut que je lui ramène demain.


-J'ai compris le message, je sais pourquoi, je suis pas un abruti ! »








Nous sommes au mois d'octobre 2002, cinq mois avant la prise d'assaut de Fresnes. Le « baveux », c'est l'avocat, dont jamais le nom ne sera prononcé, mais pour l'accusation, il ne peut s'agir que de M° Karim Achoui, alors défenseur attitré de Ferrara.L'avocat aura tout tenté pour y échapper, mais il figure bel et bien parmi les prévenus de ce procès. Entre temps, il a vécu une expérience dont il se serait également bien passé : une tentative d'assassinat dont le commanditaire, croit savoir la PJ, pourrait bien figurer parmi ses co-accusés. Vraie ou fausse piste, les deux hommes auront l'occasion, au fil des audiences, d'échanger quelques regards.




Banditisme: révélations sur les écoutes qui ont piégé Ferrara


Peut-être comprendront-ils, eux, le sens de cette autre conversation captée par les écoutes :


« Voilà, l'autre j'ai vu pour les pépettes. Il a donné sept barres à l'avocat… celui qui devait te donner les 5 000 euros… alors il te dit d'attendre un peu et il te fait signe quoi ».


Le jour « J », 57 impacts de balles seront relevés sur l'un des miradors de la prison de Fresnes. Mais le brillant Karim Achoui a du répondant et une défense digne de son meilleur client : lui-même.







Banditisme: révélations sur les écoutes qui ont piégé Ferrara


Ils ont réussi le saut de l'ange, chapardé un véhicule pénitentiaire ou vaporisé le mur d'une maison d'arrêt. Une poignée de taulards magnifiques qui s'étaient fait la belle dans un précédent livre du journaliste de Marianne Frédéric Ploquin reprennent leurs échappées en BD dans Ils se sont évadés, coédité par Fayard et les éditions 12bis.





Là où le premier tome de Parrain et caïd se concentrait sur les réseaux et la personnalité des grandes figures françaises du crime, ce second opus se penche sur un art lyrique du grand banditisme : l'évasion. Effleurant leur passé criminel, cette bande dessinée se concentre sur l'ingéniosité ou le panache déployés par les détenus pour fuir les barreaux. Peter Kuntz sort de la prison de Fresnes d'un prodigieux saut de 4 mètres de longueur pour enchaîner 5 ans de cavale. Pascal Payet joue par deux fois la fille des airs, décollant en hélico des maisons où il paie ses braquages, avant de venir secourir ceux qui étaient venus le chercher, toujours aux commandes d'un engin volant. Michel Vaujour, encore, secouru par la femme de sa vie qui, pour l'arracher de la Santé, a amoureusement appris à manier le manche à balais.





Evadés magnifiques, romantiques pour certains, les « héros » de cette BD au scénario bien réels courent après une liberté dont ils ont goûté le prix en la perdant. Des récits épiques où s'illustre la juste remarque du braqueur de charme Bruno Sulak, double évadé de Fleury-Mérogis : « ce qui est important, ce n'est pas comment on s'évade, mais pourquoi. »





(les extraits ci-dessus ont été reproduits avec l'aimable autorisation de Frédéric Ploquin et des éditions Fayard)




2011-05-22T11:20:00+02:00 | 27 lectures

Anna Polina, la nouvelle égérie de la maison Marc Dorcel rencontrée à Cannes, nous livre ses conseils de cinéma (porno), partage ses expériences ("enrichissantes, rock n'roll"), nous parle des "effets de jaillissement" du porno en 3D. Et comme elle adore parler, eh bien nous l'avais laissée faire.     ...
Lire la suite | 3 commentaires


Jérôme Leroy | 2008-05-10T14:24:00+02:00 | 20 lectures

Frédéric Fajardie est mort le 1er mai 2008. C’était un très grand nom du roman noir français dont il renouvela les codes à la fin des années 70 en compagnie de Jean-Patrick Manchette ou de Jean Vautrin.


Fajardie : mort d'un bernanosien rouge


Frederic Fajardie est né le 28 août 1947. Son après-guerre a la couleur grise des pauvretés sans pittoresque. Il garde pourtant, courant comme un fil d'or dans son œuvre, une nostalgie inguérissable de l'enfance, une enfance illuminée par l'image d'un père connaissant des fortunes diverses, tour à tour ferrailleur et bouquiniste dans une librairie où le futur écrivain reçoit les encouragements de Max-Pol Fouchet qui venait revendre ses services de presse.


Les années cinquante et soixante de Fajardie sont celles d'un spleen tenace et de petits boulots dans un XIIIème arrondissement aujourd'hui disparu jusqu'à ce qu'il décide de faire la Révolution. Ce sera, dès 1967 les CVB, comités Vietnam de base, bras musclé du maoïsme français. Cet engagement gauchiste de Fajardie ne fit jamais de lui un puritain même quand il devint un des grenadiers voltigeurs attitrés de la Gauche Prolétarienne. Comme il le disait lui-même, « cette époque sentait bon le complot, l'extrême gauche, l'amitié. » De Mai 68, il consigne l'essentiel dans Jeunes femmes rouges toujours plus belles(1988), manière de Chartreuse de Parme du gauchisme français.





Le pourfendeur de la gauche bling bling des années 80


Un service militaire dans la DCA en Allemagne en 1969 lui permet de digérer la désillusion. Le Grand Soir se faisant attendre, Fajardie reprend ses études, histoire de prouver qu'un autodidacte ne finit pas forcément dans la peau de Staline ou de Bernard Tapie : un bac philo, trois licences et un DEA à l'école pratique des hautes viennent couronner ses efforts. En 1974, il rencontre son épouse Francine, qui l'encourage dans sa vocation d'écrivain presque oubliée et à qui il dédiera tous ses livres.


Il choisit donc d'abord le roman noir qui est un moyen comme un autre de continuer la Révolution. Cela va donner Tueurs de Flics en 1979. Le succès est immédiat, salué par Vautrin, Jean-Paul Kaufman ou Jean-François Fogel. Entre 1979 et 1993, Fajardie va publier vingt deux romans, dix recueils de nouvelles et écrit pour le cinéma, la télé et la radio. Mais 1993 est aussi l'année de Chronique d'une liquidation politique, un essai rageur sur les reniements et l'arrogance de la gauche au pouvoir (il y eut également une gauche bling bling au début des années 90). Cette critique lui coûte cher et il se retrouve victime d'une véritable interdiction professionnelle en tant que scénariste, sans compter l'omerta de journaux « amis » tels Libé ou Telerama. Comme Bernanos, dont il était un grand lecteur, Fajardie n'avait pas hésité à tirer sur ceux qui ne pouvaient imaginer qu'une attaque vienne de leurs propres rangs. Mais Fajardie ne reniait rien de ses engagements premiers, bien au contraire.





Le camp du peuple fut toujours son camp



En effet, pour paraphraser la chanteuse Dominique Grange dont Les nouveaux partisans était l'hymne de la GP, le camp du peuple fut toujours son camp. Il avait beau devenir un auteur culte pour nombre de jeunes hussards royalistes, il avait beau être ami avec ADG, Fajardie demeurait un écrivain « de terrain ».


En 2003, il reste plusieurs mois sur le site de Metaleurop dans le Pas de Calais alors que cette usine de traitement du plomb va être délocalisée. Il recueille les réactions des ouvriers licenciés qui occupaient les lieux et cela donne Metaleurop, paroles ouvrières dont les droits d'auteurs furent reversés aux associations locales.


Inventeur du commissaire Padovani, héros récurrent de six livres et double littéraire, Fajardie fut aussi un grand romancier de l'Histoire plus qu'un simple romancier historique. La résistance, la guerre d'Espagne, les suites des deux guerres mondiales, rares sont les périodes où il ne fit pas se battre et s'aimer ses personnages, tour à tour romantiques, désespérés, drôles et poétiques. Il avait d'ailleurs sensiblement agrandi son public ces dernières années avec la série des Foulards Rouges où il faisait passer en contrebande, de manière très efficace, en plein Grand Siècle, des névroses et des souffrances tout à fait contemporaines.


La certitude que son œuvre qui compte plus de 360 nouvelles et une soixantaine de romans est faite pour durer est bien la seule consolation que l'on puisse trouver à cette disparition.













2008-01-28T22:35:15+01:00 | 18 lectures



LES CAS d'ecclésiastiques ayant rompu leur voeu de chasteté défraient régulièrement
la chronique.


Mars 1990.

Le père abbé Philippe Aubin, responsable de l'abbaye bénédictine du
Bec-Hellouin (Eure), et la mère Sainte-Marie-Ephrem, supérieure du...

Publié le 27.01.08


2008-02-06T17:38:00+01:00 | 17 lectures

Au milieu des années 90, alors que le hardcore straight de Fugazi , Black Flag et consort se partage la vedette avec la débraille du grunge de Nirvana et Mudhoney, surgit une bande de chevelus dont les références bruitistes et lysergiques vont plus volontiers au psychédélisme de la fin des 60's qu'au punk ou au heavy rock des 70's. Ce groupe, véritablement sorti de nulle part, se nommait Mercury Rev . Oui, vous avez bien lu, Mercury Rev. Ce quatuor de Baltimore n'a pas toujours é...
Lire la suite | 2 commentaires


Jacques Derrida | 2008-12-06T16:30:29+01:00 | 17 lectures

Jacques Derrida donna à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), entre 2001 et 2003, un séminaire intitulé « La bête et le souverain », consacré au concept de souveraineté et aux « figures animales du politique ». Les éditions Galilée entreprennent la publication de ce vaste corpus*. Dans (...)
/ , , , , , , - 2008/09


2008-05-21T16:30:00+02:00 | 16 lectures

Un peu pour Hugues, qui me l'avait demandé , un peu pour l'hommage à 68, un peu pour l'été qui arrive avec ses chaudes soirées, j'ai eu envie de vous parler du Gris Gris de Dr John, The Night Tripper. Album culte et bizarre (encore un !) parce qu'empli d'influences musicales et de réminiscences d'un passé pas forcément rock, alors que produit durant la décennie psychédélique, Gris Gris s'impose aujourd'hui comme l'un des tous meilleurs Dr. John, à l'égal d'un bon Captain Beefheart d...
Lire la suite | 10 commentaires







 

Copyright © 2004 by Berylinfo  |  Powered by XOOPS 2.0 © 2001-2007 The XOOPS Project  |  Design by 7dana.com adapté pour Berylinfo