Des métallurgistes du groupe venus de toute la France mais aussi du Luxembourg ou de la Belgique réclamaient la "défense de l'industrie en France".

Ratatouille maison (et insipide ?) servie Ivan Rioufol dans les colonnes du Figaro. Le « forcené toulousain » est à l'honneur, au milieu d'un discours mélangeant religion, origine et identité. Des propos qui ont au moins le mérite de révéler deux positions possibles face aux derniers évènements : se comporter en républicain laïc... ou « attiser la haine ».

En ces temps de remise en cause de la légitimité des médias, notre blogueuse associée Aliocha met aujourd'hui en exergue un journaliste qu'elle considère : Daniel Cornu, ancien rédacteur en chef du quotidien La Tribune de Genève et auteur de nombreux textes sur l’éthique du journalisme.

Jean-Dominique Merchet synthétise les critiques qui surgissent sur le mode opératoire du Raid lors de l'assaut de ce matin contre Mohamed Merah : usage d'un bélier, non-utilisation des gaz incapacitants, durée de l'assaut trop long, choix du lieu de l'affrontement.

Faisons-nous tous, d'une façon ou d'une autre, partie d'une minorité ? Mohamed Merah, le djihadiste qui a assassiné sept personnes en France ces jours derniers, a été largement - et trop souvent - présenté comme étant "d'origine algérienne", donc membre d'une minorité au sein de la grande famille française ; au Mali, c'est la rébellion de la minorité touarègue qui a, de fil en aiguille, provoqué le coup d'Etat qui vient de se produire.… On pourrait multiplier les exemples à l'infini.

Existe-t-il des minorités heureuses ? Le mot “minorité� est si souvent associé à toutes les misères du monde qu’on peut en douter. Etre copte en Egypte n’est pas facile. Juif au Maroc ou musulman en Inde non plus. Etre tutsi au Rwanda fut très périlleux au cours des années 1990, tout comme il était terrible d’être juif ou tsigane en Europe à la fin des années 1930…

"Je ne suis pas candidat" aux législatives, a de nouveau répété Jean-Luc Mélenchon, en visite jeudi 22 mars à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne).

"J'ai toujours dit que s'il y avait quelque chose, il fallait que ce soit à Valenciennes, que je le prenne pas la main et l'emmène", confie au "Monde" l'ex-ministre.

Plutôt que de stigmatiser l'antisémitisme supposé des Français, les médias américains feraient mieux de s'inspirer de leurs réactions face au drame de Toulouse, suggère cette journaliste.

Le préjudice se chiffrerait en centaines de milliers d'euros, a-t-on affirmé de source proche du dossier.